Thursday, December 28, 2017

Téléchargement Gratuit Condé, le héros fourvoyé, by Simone Bertière

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Condé, le héros fourvoyé, by Simone Bertière

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Condé, le héros fourvoyé, by Simone Bertière

Détails sur le produit

Broché: 840 pages

Editeur : Le Livre de Poche (19 février 2014)

Collection : Documents

Langue : Français

ISBN-10: 2253175315

ISBN-13: 978-2253175315

Dimensions du produit:

11,4 x 3,2 x 18,4 cm

Moyenne des commentaires client :

4.3 étoiles sur 5

15 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

18.181 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Le livre se lit bien, il raconte la vie du Grand Condé (et donc retrace les événements de la fin du règne de Louis XIII et d'une bonne part de celui de Louis XIV).Pour moi qui ne maîtrise pas du tout cette période historique, la lecture fut très intéressante.

Une biographie de grande qualité, très fouillée, qui nous fait découvrir un Grand Homme qui a voulu racheter ses "fautes politiques" tout en gardant son rang et en préservant sa descendance. La lecture de ces 700 pages est passionnante et agréable. L'auteur nous dévoile une vie hors du commun et nous fait partager une période cruciale de l'Histoire de France : la Régence et du début du Gouvernement de Louis XIV. Un grand merci.

livre arrivé très rapidement, je suis en train de le lire et il et passionnant. Je le recommande à ceux qui sont fans de cette période de l'histoire.

Tout y est... et on comprend enfin le processus de la Fronde. Merci à Simone Bertière pour son talent de conteuse.

pas facile d'etre un deuxième couteau de sang royal, Condé, Orléans ou Vendome quand on est contemporain des "stars" Mazarin, Anne d'Autriche,( Retz dans un autre registre) et bien sur Louis XIV!meme quand on est prince du sang et des champs de bataille, dernier des féodaux et des frondeurs, d'une témérité et d'une arrogance folles, on finit par devoir se soumettre devant la froide détermination et la "real-politic" des initiateurs de la centralisation politique et administrative française, les trois premiers Bourbons et leur géniaux collaborateurs, Sully, Richelieu et donc Mazarin.au-delà de quelques paragraphes (3 exactement, sur 740 pages!) un peu cafouilleux, ce livre est très facile à lire, aussi bien au niveau du style que de la composition et il bénéficie (de mon point de vue) de l'admiration que Mme Bertière voue me semble--t-il à Mazarin!si Condé a finalement peu pesé sur l'histoire de France, il nous a laissé avec Chantilly, un très beau cadeau!lecture indispensable pour les lecteurs de Dumas; personnellement, j'ai comme Aramis je crois, un faible pour la soeur de Condé, la terrible duchesse de Longueville!!!!

L'auteure relève la gageure , comme elle l'a réalisée avec sa biographie du cardinal de Retz , de tenter de comprendre et de nous expliquer un personnage si complexe que le grand Condé ; gageure car comme avec Retz les historiens n'hésitent pas à leur faire un procès à charge pour leur activité pendant la Fronde .L'auteure décrit leur environnement social et leurs égoïsmes .Il est piquant de lire les relations entre Condé , Retz , Mazarin et Louis XIV , Mazarin parait avoir la part belle puisque seul il défendait la nation à travers la personnalité du roi .L'auteure nous décrit un reître très cultivé , un oxymore à lui tout seul !

Livre tout simplement juste et bien écrit une lucidité d'écriture, et une facilité de lecture sans aucun reproche, pour les passionnés, ou curieux d'Histoire, je conseille également Jean-Christian Petitfils qui se rapproche de Simone Bertiere par sa simplicité

Ouvrage de grande qualité de Simone Bertière, ce n'est pas le premier, mais plutôt une habitude. Sa lecture est très plaisante, dans un français que l'on aimerait lire plus souvent. Il comporte de riches annexes en particulier de nombreuses cartes, un repère chronologique particulièrement détaillé. En revanche, les tableaux généalogiques me paraissent un peu courts, notamment pour la maison de Bourbon-Condé, cependant celui-ci est complété utilement par une liste.Lorsque l'on parle du Grand Condé, inévitablement la question suivante se pose : fut-il un traitre, ou pas ? Peut-on parler de traitrise au sens où nous l'entendons à l'époque louis-quatorzienne ? Ne commet-on pas là un anachronisme ? Je crois qu'il nous faut crever l'abcès. Ce paragraphe risque d'allonger notablement ce commentaire, mais il me parait utile, voire indispensable. Pour faire court, le propos ci-dessous ne concerne pas la loyauté due au roi, comme il exclut les rébellions diverses et variées qui ne font pas débat, mais se limite bien à la loyauté due à sa patrie, en l'occurrence ici, à la France.Je crois que pour répondre à cette question, il suffit de laisser la parole aux hommes du temps, comme cela aucun anachronisme possible, laissons la en premier au Grand Condé lui-même. Celui-ci parlant de son frère Conti négociant dans le dos du roi avec les espagnoles (p 214) : « ...Cet évènement m'a extraordinairement touché par la grandeur de la faute d'avoir osé traiter avec le roi d'Espagne pendant une guerre ouverte. ». Une déclaration du 13 décembre 1652 dénonçant les transfuges (passés au roi d'Espagne) dont Condé, les désigna comme (p 328) : «perturbateurs du repos public et traitres à leur patrie ». Il est à noter, comme l'a souligné l'auteur, qu'ils furent déclarés traîtres à leur patrie et non à leur souverain. Citons encore Alexandre de Campion, fidèle du comte de Soissons qui devant suivre son « patron » en révolte contre Louis XIII, eut cette phrase : « Je suis honteux pour moi de servir le roi d'Espagne contre ma patrie !». Nous sommes là en 1626, soit un bond en arrière de presque 30 ans !!Je crois que ces propos sont parlants, alors il serait temps que certains historiens cessent de nous faire accroire que le sentiment patriotique n'existait pas, même si, il nous faut distinguer la noblesse de robe avec la grande et petite bourgeoisie ainsi que le peuple d'une part, et d'autre part, la noblesse d'épée avec ses grands seigneurs. Pour cette caste, certains historiens tentent de nous faire accroire que le sentiment national n'aurait pas encore éclos, comme s'il avait existé entre ces grands seigneurs, et pour eux seuls, une espèce de solidarité de classe internationale, mais surtout et c'est là le plus important, primant sur toute autre considération. À croire ces mêmes historiens, nous sommes contraints de penser que ces grands seigneurs auraient été tout bonnement hors de leur temps comme par magie. En fait, ils ne pouvaient ignorer le sentiment national qui commençait d'être très fort à cette époque, simplement il était plus facile de feindre de l'ignorer pour se donner bonne conscience tant la construction d'un état moderne leur était préjudiciable. Cela est si vrai qu'ils justifiaient leurs mauvaises entreprises par la défense de principes qu'en réalité ils combattaient, ce simple fait, démontre leur plus complète duplicité. Sinon pourquoi ne pas énoncer leurs vraies revendications et se battre ouvertement pour elles, s'ils les pensaient vraiment justes ???? Nous sommes là , dans l'hypocrisie la plus totale. D'ailleurs, l'auteur, Simone Bertière, ne se laisse aucunement abuser, et laisse parfaitement transparaitre dans cet ouvrage, la pleine et parfaite lucidité de Condé dans ses actes de traitrise, et ne le dédouane aucunement sous le prétexte que les grands seigneurs n'auraient pas connu le sentiment national !! Qu'ils le rejetassent en feignant de l'ignorer oui, mais en toute lucidité, au profit de leurs seuls intérêts, ici était la triste réalité. Voilà pour ce point.Quelle est cette vie si romanesque ? Déjà , les Condé, autoproclamés prince de Condé, ont une longue tradition de rébellion au regard de la courte existence de leur branche. Louis II de Bourbon, prince de Condé, avait donc de qui tenir, et en particulier de son père, Henri II de Bourbon, prince de Condé, qui pourtant a essayé de tout faire pour lui éviter les erreurs qu'il avait lui-même commises, l'auteur s'attache à le souligner. C'est d'ailleurs pourquoi ce père retarda tant la venue de son fils à la Cour, afin de l'éloigner de toutes mauvaises tentations. De plus il comprit, à une époque encore récente où pour la noblesse d'épée inculture était quasi lettre de noblesse, que pour servir l'état, il fallait quelque compétence. Il s'efforça donc de donner une instruction à son fils très supérieure, à celle des fils de la noblesse d'épée d'alors. C'est donc un prince cultivé (alors simple duc d'Enghien) de 15 ans qui fit son apparition à Paris et à la Cour après sa dure et rigide formation à Bourges, lieu plus propice à de studieuses études que Paris. Là , il entra à l'Académie royale pour sa formation militaire. Son père l'éloigna bien vite de la capitale, afin de le séparer d'un entourage qu'il jugeait défavorable et déteignant sur son fils, il lui fit attribuer le gouvernement de Bourgogne pour faire passer plus facilement la pilule. C'est sur le front du Nord, à Arras, que le futur grand Condé fit ses premières armes, on était en 1640, en 1643, le 19 mai, ce fut la victoire de Rocroi, qui lui donna ses lauriers pour la postérité, il n'avait que 21 ans. Cette victoire fut en fait un désastre pour lui : porté au pinacle, passant pour un nouvel Alexandre, tel François 1er après Marignan, la terre ne le portait plus, pour lui comme pour le feu roi, trop de victoires trop tôt ont obscurci leurs jugements. Ce fut sa perte.Le pouvoir royal maintenait son influence et son autorité par une habile dispensation des grâces et faveurs aux différentes branches de la haute noblesse, les faisant se neutraliser les unes par les autres. Quand Condé prétendit les monopoliser il rompit cet équilibre des faveurs, mettant en danger la couronne car la privant de cette manne pour réguler les appétits et les mécontentements. Le pouvoir royal avait donc des limites qu'il ne pouvait franchir. Il fallut bien brider ce jeune duc d'Enghien dans ses prétentions, ce qu'il prit pour un traitement parfaitement inéquitable, ou du moins voulut-il s'en persuader, lui que la Cour prenait pour un demi-dieu et qui finit par le croire...Bref cela le mena d'abord à son arrestation puis à la rébellion, et enfin à la rupture avec la trahison en se mettant du côté des espagnols qui le nommèrent le 17 novembre 1652 généralissime de leur armée, redonnant ainsi un peu de force et de vigueur à leurs armes. Généralissime purement nominal comme le montre bien l'auteur, il n'eut jamais les coudées franches -heureusement- et avec le recul, on peut voir clairement que les espagnols, n'avaient qu'une confiance limitée en ce prince imprévisible et déjà une fois traitre.Cela dura quand même six années. Six années qui effacèrent tout de même une partie des acquis des victoires précédentes auxquels il avait contribué avec le grand Turenne, maréchal de France. Mais c'est en vaincu, par ce même maréchal, seul militaire qu'il ait vraiment toujours considéré au moins comme son égal - et avec raison- , qu'il revint en France, où on le pria de se faire oublier à Chantilly, il n'avait pas 40 ans. Une deuxième phase de sa vie commençait, elle dura plus de 25 ans, où le brillant héros dut se transformer en simple châtelain. Après un long temps de pénitence, il fut tout de même rappelé par Louis XIV pour quelques campagnes, c'est lui par exemple qui conquit la Franche-Comté en 1668.L'auteur nous fait bien cheminer durant cette vie tumultueuse, analysant je crois assez bien autant que faire se peut, les actions de ce prince. Même si elle ne cache pas la difficulté pour un historien d'approcher au plus près ce personnage, car on sait que sa descendance, s'empressa à sa mort, d'effacer tout ce qui aurait pu être compromettant pour lui, tant d'un point de vue de la morale d'alors que sur d'autres plans. Pourquoi le faire si cet homme avait été irréprochable ou simplement dans la norme de ce qui était admissible ? Cet acte est un aveu en lui-même, mais il occulte tout de même une partie du personnage !!Le génie militaire de Condé ? Oui sans doute, mais par éclats, en des circonstances précises. Quand il fut en difficulté c'est à Turenne que l'on fit appel pour le sortir du pétrin, car le maréchal, lui, était tout terrain... Et que dire du traitement odieux qu'il réserva à sa femme dont je n'ai touché mot ici dans ce commentaire ? Simone Bertière, n'occulte pas cet autre aspect noir de cet homme, et cela ne le grandit pas. En fait bien peu de choses me permettent, par cette lecture, de l'élever un peu. La branche des Condé s'est éteinte, et c'est tant mieux, pour le plus grand bien de la France d'une part, et d'autre part, je vois mal comment pourrait-on porter avec fierté et honneur un tel nom.

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